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Pasteles

千里共嬋娟──中秋佳節齊賞月

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蟬鳴漸弱,秋蟲始動,一年之中最熱的時節已經過去,初秋的涼風吹散了夏末的暑氣,為夜晚帶來些許秋意,幽藍的夜空中懸著明亮的月,皎潔銀白的月光映照著大地。

秋,是收穫豐饒之季,亦是草木搖落、由盛轉衰之際,而古人以月屬陰,發展出拜月、祭月的祭祀活動以答謝或祈求神祇庇佑。秋季的月,光潤如玉,除了祭祀活動外,自古以來更是人們觀賞吟誦、寄託情懷的對象,尤其在農曆八月十五這天,月形圓潤飽滿,象徵著家人齊聚團圓,且古時將一季以孟、仲、季區分,八月份稱作「仲秋」,又稱「中秋」,進而演化出「八月十五慶中秋」的傳統。

中秋節為東亞文化圈的傳統節日,除華人地區常用的中秋節、團圓節、月節等名稱外,在日本、韓國、越南、琉球亦有不同的名稱,如:月見、秋夕、十五夜等。在仲秋的八月十五,人們會一同欣賞涼爽秋夜中的一輪皓月,結合各地的禮俗與傳說,發展出多樣的中秋文化。

全民烤肉夜──臺灣特有的中秋活動

中秋節的傳統活動不外乎賞月、品桂、吃月餅等,而在各地眾多的中秋活動中,有一項自1980年代興起的熱潮已徹底改變了臺灣的中秋傳統──烤肉。

barbacoa

運動,若你在街頭隨便找一位年輕人問:「你會如何過中秋節?」得到的答覆十之八九是「烤肉!」似乎中秋節就是非烤肉不可。在中秋時節,全臺各地的露營區、燒烤店將座無虛席,家家戶戶飄來濃郁烤肉香,甚至整條街都可以封起來辦千人烤肉趴!

是什麼原因讓台灣人對中秋烤肉如此狂熱?許多80年代前出生的臺灣人會說:「都是烤肉醬廣告啦。」在1980年代,由於兩家知名醬油公司為自家出品的烤肉醬宣傳,競相拍攝電視廣告並打出「一家烤肉,萬家香」的經典宣傳名句,加上大賣場於中秋時節推出的烤肉用具促銷活動,在種種商法的推波助瀾下,烤肉在臺灣人心中漸漸與中秋節畫上等號,使得中秋烤肉成了臺灣特有的中秋文化。

雖然有些人批評烤肉活動已使這項雅致的傳統節日徹底變質,但人們希望於中秋節與親友同聚,相互慰問的心情卻是亙古皆然。北宋詞人蘇軾於中秋夜思念其弟蘇轍,作《水調歌頭》並於詞末寫道:「但願人長久,千里共嬋娟。」但願所思念者平安長壽,即使相隔千里,也能共賞這皎潔明亮的月。

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Ciao

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L’importance de la spécialisation dans le secteur de la traduction

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Nous commencerons par nous demander qu’est-ce qu’une traduction de qualité ? Pour beaucoup, une bonne traduction se résume par un texte cible où toutes les règles de base ont été respectées : l’orthographe, la ponctuation, la syntaxe, la grammaire, etc. À cela, il faut également ajouter le respect du style de la langue source, la cohérence, la rigueur et la fluidité. Cependant, ce n’est pas tout ! La spécialisation dans un domaine est d’une importance cruciale dans le secteur de la traduction car elle représente un gage de qualité.

Qu’est-ce qu’un domaine de spécialisation ?

Un domaine de spécialisation est un domaine où le traducteur a développé des connaissances approfondies, ce qui lui permet de mieux comprendre le texte source et, par conséquent, d’utiliser la terminologie appropriée et de garantir la qualité du texte cible.

Pourquoi est-il important de se spécialiser dans un domaine ?

Il fût un temps où la demande était supérieure à l’offre et où les clients envoyaient leurs textes à traduire avec un délai de livraison raisonnable et s’il ne l’était pas, il était possible de négocier la date de livraison. En conséquence, il n’était pas rare qu’un traducteur accepte de traduire un texte même s’il n’était pas spécialisé dans le domaine car il avait le temps de faire les recherches nécessaires et de se documenter sur le sujet avant de renvoyer sa traduction au client. Seulement voilà, les temps ont changé ! Aujourd’hui l’offre est bien supérieure à la demande et la plupart des clients exigent que les traductions soient prêtes dans les plus brefs délais. Pour répondre à cette compétitivité, il est primordial de se spécialiser car cela permet au traducteur de fournir une traduction de qualité sans avoir à passer du temps à rechercher la terminologie et à se documenter et, par la même, de fidéliser le client.

Quelles sont les erreurs les plus courantes d’un traducteur non spécialisé ?

spécialisationL’une des erreurs les plus courantes est le contresens. Si le traducteur n’a pas les connaissances requises pour traduire un type de texte, il risque de ne pas comprendre le texte source et de commettre des contresens au moment de la traduction. Il est donc primordial de bien comprendre le texte à traduire. Pour ce faire, il est recommandé de procéder aux recherches pertinentes, de consulter des professionnels dans le domaine traité ou de consulter directement le client avant de commencer toute traduction. Ce type d’erreurs peut avoir de graves conséquences si elles ne sont pas traitées et corrigées à temps.

Dans un monde en constante évolution, la spécialisation est un effort continu que tout traducteur doit réaliser pour acquérir les connaissances les plus actuelles dans un domaine (c’est le cas des technologies informatiques, pour ne citer qu’un exemple). Pour ce faire, il est recommandé de s’informer constamment sur le sujet, d’assister à des conférences spécialisées, d’être en étroite collaboration avec les experts en la matière et de toujours faire preuve de curiosit

À Local Concept, nous accordons une très grande importance au domaine de spécialisation de nos projets et nous faisons en sorte de toujours attribuer chacun d’eux au linguiste dont la spécialisation correspond à celle du projet, afin de garantir la qualité de nos traductions et d’éviter toute erreur grave.

*Image: http://empresariados.com/especializacion-y-division-del-trabajo/

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Alhambra

Alhambra

Traduction, c’est tout ! Visite de L’Alhambra

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Déclarée Patrimoine de l’humanité par l’UNESCO en 1984, la Alhambra, avec plus de 3 millions de visiteurs par an, est le monument le plus visité d’Espagne. Qu’est-ce que l’Alhambra ? Est-ce une forteresse, un palais royal, une ville ou une retraite d’été ?. En réalité l’Alhambra est un mélange de tout ça, voire plus…

Selon le Coran, tout homme qui suit religieusement les doctrines de l’Islam est récompensé au paradis avec un palais où les moindres désirs seraient satisfaits et où la contemplation de la beauté se ferait à travers les sens. L’Alhambra a été conçue pour satisfaire la plupart des sens : l’ouïe (grâce au son du mouvement de l’eau et des nombreuses fontaines), la vue (grâce à la lumière naturelle et aux couleurs des jardins et du palais) et l’odorat (grâce aux plantes, arbres et fleurs dans les jardins).

AlhambraConstruite entre le XIII et XIV siècle, l’Alhambra domine la ville de Grenade du haut de la colline al-Sabika, située sur la rive gauche de la rivière Darro.

L’Alhambra est composée de 4 parties bien distinctes : l’Alcazaba (la citadelle), un édifice militaire, les Palais nasrides, construits sous la dynastie Nasride, le Generalife et ses jardins et le Palais de Charles Quint.

L’Alhambra représente toute la splendeur et le pouvoir de la dynastie Nasride. Elle est devenue la propriété des Rois catholiques le 2 janvier 1492, après de 10 ans de guerre contre les Maures afin de reconquérir les territoires perdus 8 siècles auparavant.

Aujourd’hui, l’Alhambra est ouverte au public tous les jours de l’année et les entrées peuvent être achetées de cinq manières différentes :

  • Sur place – Les entrées sont vendues aux guichets à l’entrée de l’Alhambra. Compte tenu du grand nombre de visiteurs, les queues aux guichets peuvent être relativement longues. À prendre en compte surtout en été ; les températures peuvent parfois être très élevées. Les entrées achetées par ce moyen donnent accès à l’Alhambra le même jour seulement. Les cartes bleues ne sont pas acceptées ; seul le paiement en espèces est accepté.
  • Par téléphone, à travers la Caixa (banque espagnole).
  • Par Internet. Achat des entrées entre 1 jour et 3 mois à l’avance.
  • Auprès d’une agence de voyages autorisée.
  • Aux distributeurs automatiques de Servicaixa (banque espagnole), à travers l’option d’achat d’entrées de spectacles.

alhambraÀ l’Alhambra, deux types de visite sont proposées : la visite diurne (le matin de 08:30 à 14:00 ou l’après-midi de 14h00 à 18h00 ou 20h00 du 15 mars au 14 octobre) et la visite nocturne (de 21h00 à 22h45). Par conséquent, il est recommandé de prêter attention à l’heure de visite figurant sur l’entrée afin de s’assurer que celle-ci s’adapte aux plans prévus pour la journée. L’heure indiquée est celle à laquelle il est conseillé de se présenter aux « portes » du palais Nasride. Le reste peut être visité dans la matinée ou après-midi selon la sélection effectuée.

Depuis le département de traduction de Local Concept, nous ne pouvons nous empêcher de recommander vivement la visite de l’Alhambra et de Grenade. Il s’agit d’une destination incontournable pour tous ceux qui souhaitent mieux connaître l’Espagne et ses richesses culturelles.

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Local Concept: abierto por vacaciones

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Aunque para algunas empresas el verano es sinónimo de vacaciones y descanso, para otras muchas suponen los meses de más actividad y, sin duda, una oportunidad de crecimiento inigualable. Independientemente de cuál sea el sector en el que se desarrolle tu empresa, no te olvides de que Local Concept puede echarte una mano para que estos meses de verano sean todo un éxito. ¿Todavía no sabes cómo podemos ayudarte?

A pesar de que nuestro blog va a frenar su actividad durante el mes de agosto, queremos recordar que Local Concept no cierra por vacaciones. Nuestras oficinas en San Diego, Taipéi y Madrid continúan en pleno funcionamiento estos meses para atender cualquier necesidad de traducción que te pueda surgir durante el periodo estival. Gracias a que contamos con un amplio equipo internacional de profesionales (atención al cliente, gestores de ventas, gestores y coordinadores de proyectos, traductores y maquetadores experimentados), podemos hacer frente a cualquier proyecto que se te presente durante los meses de verano, siempre garantizando un resultado inmejorable gracias a nuestras herramientas y controles de calidad.

vacacionesQuizá tu empresa necesite lanzar al mercado lo antes posible un producto idóneo para el periodo veraniego, como un nuevo cosmético, una línea de ropa o un aparato de aire acondicionado. En ese caso, no esperes más para contactar con Local Concept e informarte de nuestros servicios de localización, que podrán ayudarte a que la proyección internacional de tu producto sea todo un éxito. Recuerda que, gracias al amplio equipo de expertos que acabamos de mencionar, ofrecemos servicios de transcripción, subtitulación y maquetación, lo que nos permite trabajar con todo tipo de contenidos audiovisuales. Además, somos expertos en material corporativo, con lo que podemos asesorarte y ofrecer servicios de corrección lingüística para tus eslóganes, blogs y todo tu contenido de marketing.

Si trabajas en el sector turístico, ¿qué mejor época para actualizar tus contenidos en distintos idiomas y asegurar la calidad lingüística de tu página web, anuncios o folletos publicitarios? Si tu cadena hotelera no cuenta con traducciones de calidad en la descripción de sus servicios e instalaciones, puede que esté perdiendo más clientes de los que piensas. En el caso de la hostelería, una carta de un restaurante traducida con Google Translate puede causar no solo carcajadas por su mala imagen, sino una de una decepción a muchos de los que se hayan acercado a probar tu cocina. ¿Por qué correr ese riesgo? Con nuestros más de 30 años de experiencia, Local Concept puede ayudarte a captar el mayor número de clientes internacionales y atender tus necesidades específicas. Contacta ya con nuestro departamento de ventas y atención al cliente.

En cualquier consultoría legal o financiera, los meses de verano son toda una oportunidad para cerrar acuerdos, realizar compras o, simplemente, no quedarse rezagado con respecto a los competidores. Nuestra colaboración con grandes firmas internacionales nos avala para ofrecer traducciones legales y financieras de la más alta calidad. Ofrecemos servicios de traducción jurada para ayudarte con la traducción de contratos de cualquier tipo, y en cualquier idioma. También podemos hacernos cargo de la traducción de documentos financieros, desde cuentas anuales hasta informes de auditorías. Además, si algún socio extranjero se presenta este verano por sorpresa para visitarte, te recordamos que Local Concept también cuenta con servicios de interpretación. ¿Aún no los has probado?

Como habrás comprobado, Local Concept es tu aliado perfecto para los meses de verano. No dejes que el calor te impida llevar a cabo todos esos proyectos que tienes en mente. Contacta ahora mismo con cualquiera de nuestras oficinas y pide presupuesto sin compromiso. Te estamos esperando.

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Productividad

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DÍA INTERNACIONAL DE LA AMISTAD

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En 2011, la ONU declaró el 30 de julio como el Día Internacional de la Amistad, ya que quería promover la amistad entre los pueblos y la cultura de la paz global. Nosotros aportamos nuestro granito de arena y lo celebramos con esta entrada.

Según la primera acepción de la RAE, amistad –del latín vulgar *amicĭtas, -ātis, der. del lat. amīcus ‘amigo’– es el afecto personal, puro y desinteresado, compartido con otra persona, que nace y se fortalece con el trato. Si atendemos al tercer calificativo –desinteresado– de dicha definición, podríamos decir que la amistad es buena en cualquier faceta, pero ¿acaso no hay conflicto de intereses en el trabajo?

(Si eres el típico amiguito del jefe, esta parte te habrá encantado)

Por tanto, ¿sería compañerismo un término más adecuado? El compañerismo es el vínculo que existe entre compañeros; los compañeros son las personas que se acompañan para algún fin, formando algún tipo de comunidad, cuerpo o equipo. Como aportación personal, añadiría que es casi necesario un vínculo de confianza y, si es posible, conocimiento mutuo de los objetivos.

AmistadAunque la conclusión parece obvia, son varios los estudios que no la respaldan. Por ejemplo, de acuerdo con el estudio «Relaciones en el trabajo» realizado por LinkedIn, alrededor de un 46% de los profesionales a nivel mundial cree que la amistad en el trabajo es importante, tanto para su faceta personal como para la laboral. Un 37% de los encuestados aseguró que la amistad los convierte en personas más felices, un 28% que esta repercute positivamente en su productividad y un 35% que los motivaba. ¡Que viva la amistad, pues!

¿Revelan estos datos que hay que hacer amigos en el trabajo? Los antipáticos de la oficina ya se están frotando las manos, pues multitud de expertos han confirmado que en muchos casos las amistades en el trabajo se han convertido en palancas laborales. A continuación detallamos algunos aspectos problemáticos:

  • Ausencia de retroalimentación efectiva (¿Cómo le digo que el proyecto iba muy mal?)
  • Exceso de confianza (Te doy la mano y me coges el brazo)
  • Preferencias entre compañeros (Tú sí, pero tú no)
  • Descenso en la productividad (Más trabalhar y menos descansar)

(Entonces, ¿me hago amigo de alguien o no?)

Eso dependerá principalmente de la «mentalidad» de tu empresa, aunque aquí os dejamos algunos consejos para intentar que el entorno sea lo más favorable y relajado posible:

Consejo 1. Sé cauto y analiza el entorno.

Intenta analizar a tus colegas de trabajo y no llegues el primer día contando tus últimos 20 años al compañero que se sienta a tu lado. Puede ser un espía; o mucho peor: el jefe infiltrado. Estos errores del primer día los acabas pagando.

Consejo 2. No abordes temas conflictivos.

Religión y política son tus temas a evitar, sobre todo en tu fase inicial de la compañía (aunque últimamente, cualquier tema es conflictivo). Precaución: no te dejes sumergir en el terreno del «conflictivo» que hay en toda oficina. Su objetivo al levantarse es atrapar víctimas para sus discusiones. Cuanto más neutral seas, más puntos tendrás de ganar «amigos» en el futuro.

Consejo 3. No hables de más.

Bien se podría haber titulado: No critiques. Usa la lógica (o lo que te quede de ella) y no aportes opiniones personales sobre jefes, compañeros u otros trabajadores. Como hemos dicho antes, nunca sabes quién puede ser el jefe infiltrado. O de quién puede depender tu futuro en la empresa.

Consejo 4. Redes sociales.

El mayor enemigo de todo trabajador. Las redes sociales no permiten ni un despiste. Un comentario fuera de tono y, ¡voilà! Eres el centro de todas las charlas al día siguiente. Atención a lo que publicas, sobre todo si tienes «amigos» que son compañeros de trabajo.

Lo sentimos, pero no tenemos respuesta a si debes aceptar la solicitud de amistad de tu jefe en Facebook.

Consejo 5. Haz bien tu trabajo.

Este el más básico de todos nuestros consejos y el más complicado. Da el máximo en tu trabajo y, al final, todo irá bien. Por lo general, aquel que trabaja bien, siempre obtiene una merecida recompensa (aunque a veces se haga esperar).

Bonus

Presta especial atención a la picaresca española y recuerda que ser amigo no es sinónimo de «amiguismo».

¡Feliz Día de la Amistad!

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Traductor

Traductor

¿El traductor nace o se hace?

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Esta simple pregunta nos llevaría a uno de esos debates que te encasillan a favor/en contra, con opiniones totalmente opuestas, que se prolongaría días y días (incluso por los siglos de los siglos) y que, al final, no contentaría a nadie. Trataré, por tanto, de ser lo más objetivo posible.

Han sido diversos los teóricos que han dado una definición del modelo de competencia traductora. Kelly, Nord, Campbell o Roberts, por ejemplo, han dedicado mucho esfuerzo y tiempo en intentar dar forma a una profesión que existe desde antaño pero que se ha profesionalizado hace menos de cincuenta años. No obstante, gran parte de estos teóricos coinciden en definir dicho modelo como el bloque de capacidades, destrezas, conocimientos y actitudes que deben estar presentes en la tarea de todo traductor. Pero, ¿se adquieren estas habilidades o son innatas en los traductores?

Como ocurre con casi todo en la vida, depende. De este modo, puedo decir que en la vida real trabajo con colegas que nunca han recibido formación académica y que hacen un trabajo encomiable, al tiempo que colaboro mano a mano con otros compañeros que han recibido la mejor formación académica en traducción y que también hacen un buen trabajo.

¿Podría ser, por tanto, el modelo de competencia traductora un mix entre conocimientos teóricos y su posterior aplicación en el mundo práctico? Bien podría ser esta la pregunta del millón, pero deberíamos empezar por detallar qué abarca la faceta teórica y qué engloba la faceta práctica.

TEORÍA

training-469591_960_720Desde mi punto de vista, esta faceta abarcaría el puro conocimiento traductológico necesario para saber de dónde venimos y decidir a dónde queremos llegar (por muy místico que suene). Traductología, Terminología o Teoría de la Traducción –por citar algunas– son asignaturas que deben formar parte del currículo universitario/académico de todo traductor y que deben suponer la base de nuestra futura profesión. ¿Acaso no se debe empezar cualquier tarea con una buena base? Personalmente, creo que este árbol teórico debería abarcar asimismo el conocimiento de las lenguas de origen y destino y de sus respectivas culturas. De hecho, son varios los países que ya definen al traductor como mediador cultural.

Sin embargo, ¿ya nos convierte en traductores el simple hecho de recibir esta formación? Como he comentado anteriormente, no del todo. Estaríamos en pleno proceso de creación y desarrollo: en este momento estamos en una especie de adolescencia traductora y queremos llegar a una madurez profesional. Somos conscientes de nuestra base, pero nos falta experiencia, que iremos adquiriendo con el siguiente punto.

PRÁCTICA

traductorEs esta faceta la que nos convierte en verdaderos mediadores culturales. El bucle práctica – error – solución – práctica es la alma mater de la vida de cualquier profesional de la traducción. Solo se practica practicando, y es en esta fase en la que debemos aplicar todos aquellos conocimientos teóricos que hemos adquirido en esa adolescencia.

¿TEORÍA O PRÁCTICA?

Ahora la pregunta clave es: ¿prevalece una faceta sobre la otra? ¿Es más importante la teoría? ¿O acaso lo es la práctica? Empecemos por contar con ambas, sin atender a porcentajes, y sigamos recordando que no hay huevo sin gallina, ni viceversa.

En un intento de dar respuesta a la pregunta que planteábamos al principio, el traductor nace y se hace. Nace –metafóricamente hablando– al infundirse de conocimiento teórico en diversos aspectos (lingüístico, cultural, enciclopédico), y también se hace al aplicar todas esas destrezas en la práctica de su día a día. Es la combinación de teoría y práctica la que nos convierte en verdaderos mediadores culturales.

Conviene recordar las palabras de García Yebra al combinar estas dos facetas, teórica y práctica, de nuestra profesión: «La regla de oro para toda traducción es decir todo lo que dice el original, no decir nada que el original no diga, y decirlo todo con la corrección y naturalidad que permita la lengua a la que se traduce».

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Market 2

好吃又好玩的美食拼圖—來台灣,迺夜市

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說到台灣,許多人會聯想到這是個盛產水果的王國、大小商店林立的便利之都、各地充滿不同風情的福爾摩莎。在台灣不大的土地面積上,擁有兩千三百多萬的人口,而這裡充斥的吃喝玩樂可不少。空間上來說,我們充分的運用這片土地,各式各樣的商店展售著滿足人們不同需求的商品;同時有越來越多的複合式空間,讓人們在一個地點就能達到多樣的目標:購物、閱讀、觀光、飲食,一次到位。時間上來說,台灣像是個不夜城好吃又好玩的美食拼圖—來台灣,迺夜市。早晨八點、下午五點、晚間十一點、凌晨三點,都有為了不同族群點燈營業的店家。只要你願意,任何時間點想吃到一碗熱騰騰的牛肉麵,大抵都不是問題。

在這之中,台灣有一項越來越為興盛的「消遣」—逛夜市。夜市,台灣人愛逛,許多從國外來台的觀光客也愛。它可說是充分利用時間空間的最佳例子。台灣的夜市有些什麼特色,也許大家一時也說不上來,就是東西特別多、五花八門,吃的玩的喝的看的樣樣不少。一 邊吃魚丸、一邊射飛鏢;一邊喝冰砂、一邊聽著叫賣的攤販妙語如珠。不是人人都愛這種汗珠交雜著鼎沸人聲的環境,但這是人人都有的共同回憶,很有台灣味。

你知道嗎?這片小小的土地上,有超過五十幾個夜市。而每年都有網羅民眾意見所選評出的喜愛度排行榜,在在顯現出台灣民眾對於夜市的熱情。從北到南,幾乎每個縣市都有著耳熟能詳且特色不同的夜市:例如,基隆廟好吃又好玩的美食拼圖—來台灣,迺夜市口夜市有最新鮮的海鮮料理任君挑選。生魚飯、紅燒鰻羹、旗魚黑輪都是基隆廟口夜市的首選小吃。台北士林夜市能吃能玩也能購物,看小吃店店員中英日韓各種語言都能應答,受國外觀光客的喜愛程度可見一斑。堪稱有最大腹地的台中逢甲夜市,除了美食林立,更是許多創意料理的發祥地。在美食一級戰區的台南,其中花園夜市是台南規模最大的流動夜市。台南風味的銅板美食、鹹中帶甜的道地風味,是花園夜市的最大特色。高雄瑞豐夜市如同高雄棋盤狀的街道規劃,這裡的攤販一行一行羅列;買衣服、吃美食、玩遊戲區域分明,在這邊都能一次滿足。連接著墾丁大街的夜市,有豐富的海鮮美食、南洋風味,站著吃、坐著吃、邊走邊吃任君挑選,是墾丁的遊客必走的行程之一。來宜蘭羅東夜市可以吃到許多宜蘭的當地小吃,包含三星卜肉、宜蘭蔥餅等等,走訪一趟就能充分感受宜蘭的在地風味。

好吃又好玩的美食拼圖—來台灣,迺夜市
有人會說夜市是台灣的一種文化,其實它更像是一種生活的縮影。在一天的辛勤勞累之後,我們期待娛樂、期待美食、期待一種自在隨興的步調。在這裡,我們擁抱各地的小吃、不同的文化、多種的風情。夜市裡,很可能就會吃到充滿家鄉味的美食;北中南東、義法美日,在這裡都是屬於台灣的味道。

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Firma Cathy

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Transformar para crear: transcreación, ¿qué es?

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El concepto «transcreación» está muy en boga dentro del sector de la traducción. Si echamos un vistazo a los estudios, artículos y círculos profesionales más recientes, su incuestionable popularidad la ha convertido en un ingrediente indispensable del cóctel de modalidades o especializaciones en traducción.

En cambio, es posible que en los últimos años hayas oído hablar cada vez con más frecuencia de la transcreación y aun así no tengas muy claro en qué consiste. Con toda probabilidad, si eres un curioso lector ajeno al sector, a estas alturas, ya te habrás hecho la pregunta de rigor: ¿qué es eso de la transcreación?

CWLa transcreación consiste en llevar la traducción más allá de las palabras, acercarse a las antípodas de la literalidad y convertir una traducción en una nueva obra que conserve la intención del original pero integre elementos nuevos y diferenciadores. Dicho de otra manera, la transcreación se encarga de conseguir que el mensaje provoque las mismas reacciones en lectores de culturas distintas.

Pero, ¿acaso no es este el fin de la traducción per se? A decir verdad, sí. En Local Concept creemos que toda buena traducción debe someterse a un proceso de adaptación cultural —se debe evitar que parezca una traducción—. Por ese motivo, apostamos por crear una versión del producto que se adapte al mercado objetivo. Sin embargo, esta fase de creación no juega el mismo papel en los sectores más técnicos y en los más creativos.

En la práctica, cuando se habla de transcreación, se suele asociar a la traducción publicitaria, a la que dedicamos un artículo el pasado mes de abril. Y es que transcrear es adaptar una creación previa para que resulte más atractiva para el nuevo receptor, que es lo que hacemos en la traducción para fines publicitarios.

Si retomamos el anuncio de Dacia Duster del que hablábamos en el artículo de traducción publicitaria, nos encontraremos ante un caso donde la transcreación habría podido resultar una perfecta aliada. Si se hubiera optado por crear una letra alternativa en la versión emitida en España o incluso una nueva canción con un mensaje completamente diferente, quizá se habría reproducido más fielmente la intención original.

Otro ejemcreate-865017_960_720plo de transcreación lo encontramos en el famoso I’m loving it de McDonald’s, que en francés de Canadá ha pasado a ser C’est ça que j’m, una estrategia de traducción y transcreación donde se juega también con la fonética.

Aunque los casos en publicidad son muy abundantes, también podemos ver ejemplos de transcreación en el área de la localización de videojuegos, la traducción audiovisual, la poesía o el marketing.

Hacer transcreación es una tarea compleja que exige, además de las competencias de cualquier traductor, desarrollar un perfil creativo que nos deja a medio camino entre lingüista, mediador cultural y publicista. Además, es preciso conocer perfectamente el producto que estamos traduciendo, la empresa o entorno de origen y el colectivo al que pretende llegar.

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Translation

Lo que no debes decirle a un traductor

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El traductor, ese gran desconocido

Quizá haya quienes piensen en el traductor como un académico o un escritor ilustrado, con una larga barba blanca que, postrado detrás de su escritorio de roble con su pluma y su tintero como única compañía, escribe los versos de la antigua Vulgata.

Puede que otros piensen que ser traductor es una profesión en vías de extinción, que los traductores son cosa del pasado y que el trabajo humano quedó relegado al olvido con la llegada de las nuevas tecnologías. También habrá quien conciba al traductor como esa voz que repite en español lo que dice Obama en las noticias (es decir, lo que en el sector se conoce con el nombre de «intérprete»).

A decir verdad, el perfil actual del traductor como profesional es bastante diferente. Cuando nos ponemos retóricos, bien podríamos encajar en la imagen de un Shakespeare con Mac y normalmente somos personas curiosas con una predilección especial por conocer nuevos idiomas y culturas, viajar y aprender continuamente.

Desgraciadamente, la visibilidad de la profesión del traductor fuera del sector es todavía limitada. Si eres traductor, probablemente todo lo anterior te haya resultado familiar. Si no lo eres pero tienes algún pariente o amigo que lo sea, quizás también. Si ninguno de estos dos casos es el tuyo, entonces puede que te parezca buena idea seguir leyendo y tomar nota de lo que no debes decirle a un traductor.

  1. Cuando tu interlocutor solo escucha el final de la frase. Un clásico:

  • ¿Qué estudias/estudiaste?
  • (Lo que tú dices:) Traducción e Interpretación (Lo que tu interlocutor escucha:) Nananana e Interpretación.
  • Arte Dramático, ¿no? Pues qué guay, ¡ya te veremos en alguna peli!
  1. «Qué más da cómo se escriba, si me han entendido».

TraductorSi hay algo que todos los traductores tenemos en común es nuestro cariño por la lengua y nuestro afán por perfeccionarla en todo momento y abogar por su buen uso. Desde la correcta puntuación del saludo en un correo electrónico hasta el anuncio de una marquesina de autobús; para el traductor, cuidar la expresión es un requisito prioritario e indiscutible.

  1. «¿Traductor? Pues ahora con Google Translate tendréis menos trabajo. Además, casi todo el mundo habla idiomas, ya nadie necesita traducir».

¡Cuidado! Este comentario puede provocar reacciones desmedidas: miradas con desdén, ojos en blanco, levantamientos de cejas o similares.

Y es que si bien la revolución tecnológica es innegable, detrás de cada traducción existe una verdadera cadena de trabajo especializado que lleva a cabo un equipo humano profesional. Las tecnologías son una parte importantísima de nuestro trabajo pero han de ser de calidad y utilizarse como una herramienta complementaria.

  1. Ah, ¿eres traductor? ¿Y qué libros has traducido?

La lógica es simple: si eres traductor, traduces libros. ¿Qué otra cosa íbamos a traducir? En cambio, si nos paramos a pensar, todo se traduce: manuales de instrucciones, software, contratos, noticias, campañas publicitarias, películas, cursos de formación…

  1. «Mi prima estuvo (completar libremente con: “de Erasmus”, “de au pair” o similares) en Irlanda y ahora también es traductora», o su análogo «¡Anda! Pues yo también traduzco en mi trabajo. Bueno, cuando no tengo que trabajar».

Como en cualquier sector, especializarse requiere un esfuerzo. Por eso, no es de extrañar que el traductor conteste a este inocente comentario frunciendo el ceño o con un gesto de desaprobación. Para poder traducir de forma profesional es preciso disponer de un conocimiento lingüístico y cultural muy extenso.

  1. «¿Y solo traduces?»

TraductorUna respuesta común y que nos saca bastante de quicio. El lingüista, «además de traducir», debe documentarse sobre el cliente y sobre el texto que está traduciendo, resolver imprevistos informáticos, poner al día sus glosarios, coordinarse con otros compañeros, revisar contenidos traducidos por otros lingüistas y otras muchas tareas.

Pese a todo, siempre es agradable que tu trabajo resulte interesante para otras personas y, por suerte, muchos de estos comentarios suelen ser fuente del desconocimiento general y a menudo se resuelven con algo de información acerca del sector. Además, afortunadamente, también recibimos muchas críticas positivas y comentarios de admiración por nuestro trabajo.

Desde mi experiencia, lo mejor es tomárselo con humor y ofrecer más visibilidad sobre nuestra profesión a todo el que sienta curiosidad por ella.

*Fuente imagen destacada: http://betanews.com/2015/01/07/the-battle-of-the-translators-man-vs-machine/

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Español en apuros: cómo sobrevivir al alemán

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Es probable que en alguna ocasión hayas visto frustrada tu ilusión de aprender un idioma dada su dificultad, y puede que te hayas preguntado si tenía algo en común con tu lengua materna. Pues bien, a sabiendas de que esta tendencia es muy frecuente entre los estudiantes de alemán, en Local Concept hemos querido dedicar una entrada a este idioma tan especial, y, por desgracia, tan víctima de los estereotipos.

Aunque no podamos decirte que leer esta entrada vaya a amenizar el estudio o tan siquiera a simplificarlo, sí podemos adelantarte que, por lo menos, conseguirá que veas el alemán como algo más cercano.

La herencia germánica más allá del habeas corpus

Si de algo somos conscientes los españoles es de la inmensa diversidad cultural y artística que heredamos de los romanos y los musulmanes durante los siglos de ocupación. No obstante, solemos perder de vista que, entre estas dos etapas, la Península vivió trescientos años de presencia germana.

A partir del siglo III, los pueblos germanos fueron adquiriendo una fuerza vigorosa y poco a poco penetraron en territorios del Imperio Romano. Esto les posibilitó adquirir conocimientos nuevos y entrar en contacto con la lengua franca: el latín. Las relaciones que ambos imperios sostuvieron permitieron a los germanos nutrir su léxico con numerosos vocablos latinos ante todo referentes al comercio, la agricultura, el derecho y la industria. De igual manera, Roma incorporó voces de origen germano como helm ‘yelmo’, burgs ‘ciudad pequeña’, sal ‘sala’, cofea ‘cofia’ o saipo ‘jabón’.

AlemánLlegado el año 409 y casi al tiempo que el rey Alarico se hacía con Roma, diversos grupos de bárbaros procedentes del Rin cruzaron la frontera de los Pirineos y se adentraron en Hispania. Si bien fueron muchos los pueblos germanos con presencia en la Península Ibérica, algunos de ellos desaparecieron al poco tiempo dejando su huella únicamente en topónimos como Puerto del Alano (alanos), Puerto Sueve (suevos) o Campdevánol (vándalos).

De entre todos los pueblos, el visigodo fue el que nos legó mayor herencia léxica, la cual se fundamentó en gran medida en el campo de la onomástica (como son los nombres Álvaro y Fernando). Además, la relación estrecha que habían tenido con Roma desencadenó la difusión de las terminaciones –ez e –iz.

AlemánLa etapa visigoda se caracterizó por ser una época de múltiples cambios. A pesar de ser dominadores sociopolíticos, fueron dominados en materia cultural. Tanto es así que, por ejemplo, Hispania pasó de ser una mera provincia romana a constituirse como España, una nación independiente con tintes germánicos, aunque sobre la base heredada de Roma y del catolicismo. Su intención integracionista se materializó en la elaboración del habeas corpus y en la renegación del arrianismo en el año 589, cuando el rey Recaredo adoptó el catolicismo. Por otra parte, los visigodos trajeron consigo los elementos propios de la tradición épica, como fueron las leyendas y los cantares de gesta.

A medida que se constituyeron los primeros estados germanos, los territorios adoptaron terminología propia de la nueva situación sociopolítica como, por ejemplo, ban, voz de la que deriva «bandido», o andbahti ‘cargo o servicio’ que hoy denominamos «embajada». También heredamos voces ligadas a sus aficiones principales como la música o la equitación (harpa, ‘arpa’ y spaura, ‘espuela’). Además, la transmisión de algunos vocablos germanos en los territorios conquistados favoreció la transferencia léxica en el ámbito militar, de modo que el sustantivo werra (‘guerra’) y el verbo raubôn (‘robar’) ocuparon respectivamente el lugar de bellum y furor.

Pese a que hasta ahora hemos presentado algunos ejemplos de herencia léxica, aún nos queda por abordar uno de los temas que más preocupa a quienes quieren probar suerte con el alemán. Y es que hay quienes dicen que adquirir soltura en esta lengua es prácticamente imposible. Si bien llevan parte de razón dado que se trata de un idioma muy distinto, cabe mencionar que es imprescindible hallar las similitudes entre ambos idiomas y comprender que el alemán, al igual que el español, tiene rasgos que lo hacen único. Solo así evitaremos desvincularlo por completo de nuestra lengua y, por ende, de nosotros, lo que favorecerá el aprendizaje y nos permitirá asimilar conocimientos más rápido.

Dicho esto, vamos a dedicar lo que queda de entrada a una de las características principales del alemán.

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https://yourdailygerman.com/2012/06/04/function-of-cases/

A diferencia de lo que ocurre en las lenguas romances actuales, el alemán aún emplea declinaciones de modo parecido a como lo hacía el latín. Estas declinaciones varían según la función gramatical que desempeñan los sintagmas o según lo que en alemán se conoce como «casos». El alemán actual (hochdeutsch) cuenta con cuatro casos, herencia de los que empleaba el alemán antiguo (altdeutsch). Estos son el nominativo, el acusativo, el genitivo y el dativo.

Pese a que los casos puedan resultarnos algo extraños de primeras, no lo son tanto. De hecho, aunque en nuestro idioma no existan como tal, los elementos que conforman las oraciones desempeñan funciones equivalentes a las de los casos en alemán. Tanto es así que podríamos afirmar lo siguiente: el nominativo ejerce una función parecida a la del sujeto; por su parte, el acusativo suele corresponderse con nuestro complemento directo y, muchas veces, depende de si el verbo es transitivo; del mismo modo, el genitivo desempeña una función parecida a la del complemento del nombre y suele ir acompañado de una –s final similar a la del genitivo sajón inglés; por último, el dativo suele realizar la función de complemento indirecto y, al igual que el acusativo, depende de las preposiciones que lo rigen.

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